Je ne suis pas le moins du monde habitué de cet exercice, mais j’ai publié un petit article dans le numéro 131 de la revue Ecarts d’identité en fin d’année 2018. Il s’intitule « Dire les indiscernables. Faire et défaire la spécificité des roms en bidonville ».
L’idée était de réaffirmer que la construction erronée d’un écart d’identité des occupants des bidonvilles a créé un défaut d’identification pour le phénomène qu’ils subissent et produit de l’indiscernable. D’où l’importance d’un mouvement inverse de déconstruction des manières de dire les migrations pour défaire l’exclusivité liée à l’étrangeté des personnes et leur migration et reconstituer les communs.
L’article n’est hélas pas disponible en ligne sur le site de l’éditeur. On peut cependant consulter ici le sommaire du numéro 131 du second semestre 2018.
Du coup vous pouvez télécharger avec ce lien le brouillon quasi définitif de ce texte.
Pour citer cet article: Thomas Ott, « Dire les indiscernables. Faire et défaire la spécificité des roms en bidonville », Ecarts d’identité, n° 131, 2d semestre 2018, p. 50-53.